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soirée o. 7 février, 2014 soirée o. tout a commencé la veille, lors d’une conversation sur l’oreiller avec f, après qu’ils aient fait l’amour (ou qu’ils aient baisé comme elle aime lui dire pour faussement le choquer). ils ont parlé de fantasmes, de sexe crus, de corps qui se mêlent, des délires, sans trop savoir ce qu’ils voulaient ou pas, ce qui les attirait ou les effrayait… a la fin de la discussion, f. l’a provoqué en lui disant que si elle voulait, le lendemain, il l’emmènerait dans un endroit secret, qu’elle devrait y venir habillée de façon très sexy : une guêpìere ou un corset, porte jarretelle, bas, string, talons aiguilles et pour couvrir le tout, juste un long manteau qui ne laisserait rien deviner des charmes offerts qu’il dissimule. o. n’a su quoi répondre… chiche! f. lui a juste dit qu’il passerait la prendre à vingt et une heure, qu’elle devrait être prête. maintenant, o. est donc là, à l’heure dite, à l’attendre dans le salon. elle s’est préparée en fin d’après midi, un bain relaxant, puis ses dessous favoris, en dentelles, une guêpière qui met en valeur sa poitrine ferme et maintient ses bas, et surtout un string qui sertit ses belles fesses rondes comme deux lunes, et cache à peine son sexe lisse comme un abricot mur. elle a enfilé ses bas à coutures doucement, les pensées ailleurs, perdues entre inquiétude, curiosité, excitation et peur de l’inconnu… elle se dit qu’elle est folle de suivre cet homme qu’elle ne connait que depuis quelques mois. où va-t-il la conduire? que va-t-il se passer? elle se dit qu’elle aurait du demander plus de précisions… que va-t-il se passer. en même temps, elle lui fait confiance, elle sait bien qu’il ne la mettra pas en danger, que c’est juste un jeu des sens, le sexe dans ce que ça a de plus cru. c’est juste de la baise se dit elle… mais elle se ravise. si f. est là, ce n’est pas juste de la baise… est ce aller plus loin dans « faire l’amour »? est ce faire l’amour en multipliant les sources de plaisirs, en sachant que l’être aimé est là, à partager cette expérience. la plus grande confusion envahit son esprit… elle reconnait le pas de f. sur le gravier, la sonnette de la porte d’entrée retentit. une soirée pas ordinaire se prépare, mais o. l’ignore encore. f. est là, sur le pas de la porte, avec son sourire, assuré et rassuré de voir o. prête, comme il le lui avait demandé. - bonsoir mon coeur, il écarte légèrement un des pans du manteau et la parure très sexy qu’a revêtu o. - hummm ravissant… nous y allons alors? une dernière légère hésitation d’o., la sensation qu’en franchissant cette porte, elle accepte un chalenge, et ne pourra plus reculer. o. sourit, et se penche vers f. elle l’embrasse tendrement et lui murmure à l’oreille: « par amour », il lui sourit, et lui répond « par amour, bien sur. » f. ouvre la porte de la voiture, et invite 0. à monter. ils prennent la route, et f. conduit tranquillement, sans gps, dans la campagne, il semble savoir où il va, il ne dit rien. o. ne peut s’empêcher de penser à la situation, ce saut dans un domaine inconnu. soudain, il prend une allée qui conduit à une vieille demeure bourgeoise isolée. f. gare la voiture devant, plusieurs voitures sont déjà là. f. arrête le moteur, et se tourne vers o.. il sort de sa poche un foulard noir, o. comprend immédiatement et tourne la tête. f. lui bande délicatement les yeux en lui murmurant: aie confiance, je reste là, à tout moment. o. se dit que c’est peut être mieux ainsi, ne pas voir ce qui se passe, ne pas voir les visages, ne pas s’interroger si un tel ou un tel est connu ou reconnu, se laisser porter uniquement par ses autres sens. il sort de la voiture, vient lui ouvrir la porte passager, l’aide à sortir du véhicule… f. lui offre son bras, et ils marchent sur le gravier de la cour, puis montent les trois marches qui conduisent à la porte d’entrée. o. entend des voix à l’intérieur, qui se taisent dès que f. appuie sur la sonnette. un silence, et des pas qui s’approchent, la porte s’ouvre. une voix d’homme grave: - bonsoir f., bonsoir o. - bonsoir x. répond f.. je vous présente o., l’invitée de notre soirée, je la confie à vos bons soins de maitre de cérémonie. - bien… bien… suivez moi. ils entrent, et suivent leur hôte. o. fait appel à tous ses sens hormis la vue. il fait chaud, l’atmosphère est emplie d’une agréable odeur de vieille demeure, quelques parfums aussi, et l’odeur de bois brulée indique la présence d’une cheminée. elle marche sur un tapis, posé sur un parquet qui craque légèrement. un fond musical vient du bout du couloir, des murmures aussi. au changement de luminosité qu’elle perçoit derrière le foulard et au silence presque religieux qui accompagne son entrée dans la pièce, elle comprend qu’ils sont arrivées. impossible de distinguer combien de personnes sont là, des hommes? des femmes? combien sont-ils? comment sont-ils? elle sent bien que tous les regards sont posés sur elle… qu’en quelques secondes, chacun a délaissé sa conversation et qu’elle est devenue le centre d’intérêt de la soirée. que font ils? ils la regardent bien sur, l’examinent? elle distingue à peine quelques murmures, des commentaires? des appréciations? à son encontre. x. rompt le silence: - je vous présente o., notre invitée ce soir, s’adressant à o.: - laissez moi vous débarrasser chère amie… se faisant, il prend délicatement son manteau par les épaules et lui retire d’un geste élégant. o. réalise qu’elle est ainsi offerte à la vue de tous… ses rondeurs et ses courbes que cachait le manteau font jaillir quelques commentaires avantageux et « hum » de plaisir. elle sent sur sa peau la chaleur qui vient de la cheminée. x reprend: - vous êtes ravissante très chère. vous nous gâtez… splendide votre parure, vos mamelons qui dépassent à peine de votre corset, cette chute de reins et cette croupe sont des invitations à la tentation. mais pour mériter les faveurs de nos invités, il faut être obéissante… (un silence)… puis je vous offrir une flute de champagne! - oui, avec plaisir, un très leger coup de ce qui doit être une baguette ou une cravache claque sur sa fesse gauche… - oui maitre, avec plaisir, la reprend x. - oui maitre, avec plaisir, corrige o. la main de x. se pose doucement là où sa fesse a légèrement rougi. il la caresse comme pour effacer la marque, et elle sent ses doigts qui apprécie la fermeté et la rondeur parfaite de son derrière. - superbe croupe, tenez vous bien cambrée que chacun puisse en apprécier la forme parfaite. o. se cambre légèrement, comme pour offrir son cul à un sexe imaginaire… x. lui tend une flute et lui prend délicatement la main. il la conduit à ce qu’elle suppose être un bar ce que confirme sa main qui se pose sur une barre en zing. - appuyé vous là mon petit, et cambrez moi ce dos en écartant légèrement les jambes. - bien maitre répond o. en se cambrant appuyée au bar… il lui reprend la flute avant même qu’elle aie pu la porter à ses lèvres, et la pose sur sa chute de rein. juste là ou son corset se termine. - voila votre flute de champagne en équilibre, prenez bien soin de ne pas la renverser si vous ne voulez pas être punie. la position n’est pas des plus confortable, cambrée et montée sur ses talons aiguilles, o. fait son possible pour ne pas bouger et ne pas renverser la flute qu’elle sent en équilibre dans le creux de ses reins. pour ajouter à la difficulté, x. lui caresse de nouveau les fesses, et laisse glisser ses doigts, dans la raie qui les sépare… - hum quelle étroitesse entre ces fesses… puis il descend de plus en plus bas. il vient caresser maintenant le bas de ses deux fesses, et s’aventure même entre ses jambes, là où la peau est si douce. la chaleur et la légère humidité qu’il y trouve le font sourire: - mais notre invitée est déjà excitée… lance-t-il aux participants. je crois bien que c’est une chaude à prendre. des approbations se font entendre. - voyons voir ce qu’elle nous cache cette coquine. la main de x se fait plus pressante sur son sexe, et elle sent même un doigt qui s’a